Lorsque LOn Met Des Tenues De Salope, Il Faut Assumer.
Nous étions vendredi, je devais passer le we avec Didier, jétais plus que contente. Je sautillais sur un pied, excitée au plus point et impatiente de la retrouver.
Pendant la pause du déjeuné, je décidais, pour le provoquer et le surprendre, daller macheter une guêpière blanche et des bas en soie assortis, juste mon imperméable dessus et mes chaussures de deux couleurs comme il aime.
Le vendredi les bureaux se vident jallais pouvoir me changer en menfermant dans mon bureau sans être déranger.
Je regardais la pendule, qui navançait pas, comme un pucelle à son premier rendez vous.
Je sortais de mon bureau pour voir les gens qui étaient encore présent. Il y avait une personne, mais à lautre extrémité de létage et qui navait rien à voir avec moi.
Je menfermais, pour revêtir ma tenue de salope afin de lexciter au maximum, comme sil y avait besoin.
Je retouchais mon maquillage, je me trouvais, sexy et plus que désirable.
Je navais quune hâte, cétais dêtre dans ses bras et surtout quil soit en moi au plus vite, car je dégoulinais.
Je me suis essuyée avant de partir, lorsque jai effleuré mon clitoris, cela ma électrisé.
Je prenais un taxi, je trouvais le temps long, avec la circulation, cela narrangeait pas les choses.
Jarrivais enfin, je courrais pour entrer dans son immeuble. Je sonnais à linterphone, la porte souvrit, je prenais lascenseur. La porte de son appartement était entre ouverte. Il mattendait dans lentrée.
Comme il lit en moi à livre ouvert, il sest doutait en me voyant que je lui avais préparé une surprise.
Il me prit dans ses bras, nous avons échangé un baiser rapide mais fougueux.
Ensuite il me retourna, pour me plaquer contre le mur, me souleva mon imperméable en me disant « tu es venue en tenue de salope pour te faire baiser »
Moi « oui prend moi fort, mon chéri, donne moi du plaisir »
A peine que javais terminé ma phrase, quil membrocha dun coup, cest entré comme une lettre à la poste tellement je mouillais.
Didier « tu es trempée petite salope »
Moi « oui jai envie de toi, défonce moi fait moi crier de plaisir »
Didier en commençant à me pilonner « je vais te faire hurler ma salope »
Moi « oui je suis à toi, je suis ta salope, ouuuiiiii » et un orgasme dévastateur arriva, marrachant un plaisir intense au plus profond de moi « ouuuiiii contiinnnnuu, cest bon encoooorrree »
Didier « tu prends ton pied, cest bon »
Moi « oui conntttinnuue ouuuuiiiii »
Il me besogna, javais les pieds qui quittaient le sol sous ses assauts.
Il simmobilisa en moi, je croyais quil allait jouir, même si je navais pas senti les palpitations sur son sexe.
Didier « je vais te sodomiser »
Moi « oui vas mais vas y plus doucement »
Didier « doucement, en faisant la salope, en venant nue sous ton imper, tu me dis doucement, mais je vais te défoncer »
A peine il termina sa phrase, quil sortit de mon vagin et se présenta sur mon illet
Moi « doucement mon chéri, doucement »
Didier dun ton autoritaire « tait toi espèce de petite salope » il entra dun coup, je plantais mon ongles dans le tissu mural en disant « doucement, oui doucement » il entra dun coup par une poussée continue
Lorsque je sentis ses couilles contre moi, je nen revenais pas quil soit entré aussi facilement « oui, cest bon vas y »
Didier « tu es ouverte salope, je vais te défoncer ton joli petit cul »
Il commença son va et vient
Moi « oui continue cest bon défonce ta salope vas y fort fait moi hurler »
Il sacharna sur mon cul en minsultant et en me tirant par les cheveux « taime ça salope te faire enculer, tu jouis petite pute » « tu aimes te faire défoncer le cul »
Moi « oui chéri continuuuu, cest bon » en plus il me fouillait et me caressait, je dégoulinais sur ses doigts
Didier « tu mouilles comme une trainée »
Il finit par jouir dans mon cul marrachant un dernier orgasme fulgurant.
Nous avons passé la nuit à batifoler.
Au petit patin je me suis réveillée, jétais seule au lit, je me sentais bien. Didier entra dans la chambre avec un plateau, il mapportait le petit déjeuné au lit. Jétais aux anges.
Tout était bien préparé.
Ensuite il dégagea le plateau et me sauta dessus, je nattendais que ça. Il ma encore arraché des orgasmes profonds. Jusquà la fin de matinée.
Jétais sur un nuage.
Il est sorti prendre une douche et moi je rêvassais ? Je navais quune envie, cétait de recommencer.
Il revint dans la chambre en me disant « tu y vas »
Moi « où »
Didier « prendre une douche »
Moi qui navais quune envie cétait de jouir, je faisais ma salope aguicheuse « et si on restait là, je vais moccuper de toi comme tu le mérites, comme tu aimes que ta petite pute soit avec toi »
Didier se reculant « tu y vas »
Moi essayant une dernière fois « allez mon chéri on va rester ici »
Didier « non on va aller se balader »
Je nétais pas très contente, mais bon jy suis allée.
En sortant de la douche , il me dit « nous allons faire des emplettes, aujourdhui »
Jétais songeuse, je sais quil a une sainte horreur de faire les magasins
Moi « tu veux aller faire les magasins un samedi ? »
Didier « oui pourquoi »
Moi « je croyais que tu naimais pas le monde »
Didier « ne discute pas, on va faire des emplettes, tu devrais être contente »
Moi « ok »
Je retournais dans la chambre pour me préparer. Je fus suivi pas Didier de près « pour aller faire des emplettes, tu thabilles comme hier soir, lorsque tu es arrivée »
Moi « je mhabille normalement »
Didier « tu thabilles comme hier soir en guêpière, bas talons hauts et ton imper que tu porteras plus court à la limite de tes bas »
Moi « ça ne va pas, allez on reste là, tous les deux, je vais moccuper de toi »
Didier « habille toi, dépêche toi »
Je me suis réhabillée comme la veille pour lui faire une surprise.
Lorsque je suis sortie, il sest approché de moi en membrassant tendrement, comme il sait le faire, je recommençais à dégouliner.
Didier « met toi a quatre pattes , sur le canapé »
Moi croyant quil allait me prendre, je ne demandais que ça. Je mexécutais en tendant mon cul comme une trainée.
Il mintroduit un objet dans le vagin
Moi « quest ce que tu fais »
Didier « je vais te donner du plaisir »
Moi « prends moi »
Didier « non » et lobjet se mis à vibrer
Moi « tu mas mis un uf vibrant »
Didier « oui avec une télécommande »
Moi « arrête retire le de suite, je ne vais pas tenir longtemps »
Didier « cest pour te donner du plaisir quand je veux »
Et de rajouter « cambre toi bien »
Il me cracha sur le cul et je sentis un objet dune bonne taille, sintroduire en moi dans mon cul.
Moi « arrête tu me fais mal »
Didier « tu es appareillée » en prenant par le bras et en massaillant, lobjet entra dans mon cul bien au fond.
Je me sentais un peu encombrée « ça me gêne »
Didier dun ton sec « tu vas ty faire » en me tirant par la main pour me lever.
Une fois à coté de lui, il membrassa en me remontant mon imperméable à la limite de mes bas
Moi « cest court, je ne vais pas sortir comme ça »
Didier « si tu vas sortir comme ça », lorsque lon veut faire la salope, il faut assumer »
Jétais prise à mon propre piège.
Didier actionnait luf vibrant que javais dans le vagin, moccasionnant des bouffées de chaleur et des orgasmes.
Le salaud samusait bien, il memmenait proche de lorgasme et me laissait dans cet état.
Javais des contractions vaginales et annales.
Nous nous sommes allés dans les grands magasins et garés dans le parking sous terrain.
Je navais quune envie, cétait quil me prenne.
Avant de descendre « Didier, jai envie de toi »
Didier « oui je sais, mais nous allons faire quelques emplettes »
Moi en mapprochant de lui et en lui caressant le sexe à travers son pantalon « tu ne veux pas me prendre, ou que je moccupe de toi »
Didier « non tu descends »
Moi avec une voix de chaudasse « laisse toi faire » et de rajouter « je ne vais pas y aller avec mes accessoires »
Il me repoussa « allez on y va, si tu les laisses en toi »
Nous sommes descendus et en marchant il remit les vibrations sur luf
Je me dandinais comme une trainée, je sentais lorgasme arriver.
Il y avait du monde autour de nous.
Nous sommes montés dans lascenseur et il le remit en marche. Je nai pas tenu longtemps, jai joui en lui plantant mes ongles dans son bras. Je transpirais de tous les cotés. Jessayais de masquer le plus possible mon état.
En sortant de lascenseur, je lui dis « arrête avec ça, je ne vais pas tenir sinon »
Didier se penchant pour me dire à loreille « ma chérie, tu as voulu faire la salope, tu assumes » et de rajouter « ce nest pas fini »
Nous nous sommes dirigés vers le rayon des chaussures.
Moi « que fait-on ici »
Didier « je vais tacheter des chaussures, tu vas voir cela va être amusant »
Moi « non pas des chaussures dans la tenue que jai »
Didier « tu vas essayer des chaussures avec ta tenue de salope »
Il interpela un vendeur, jeune dans la trentaine, en lui montrant une paire de chaussures à talons hauts pour quil me la fasse essayer.
Le vendeur me demanda ma pointure et cest Didier qui lui donna.
Le temps quil aille chercher le modèle.
Moi « non arrête, je ne veux pas »
Didier « tait toi tu vas essayer des chaussures »
Le vendeur est revenu tout sourire.
Lorsque je me suis assise, le plug sest renfoncé en moi et Didier déclencha les vibrations.
Javais chaud.
Je me mettais en travers avec les jambes pliées pour pas quil voit que jétais nue sous mon imperméable et mes jarretelles.
Je voyais bien quil me dévorait des yeux. Jétais la salope du samedi. Il y en avait dautres qui tournaient autour de moi.
Didier jouait avec luf vibrant.
Jai eu plusieurs orgasmes séparés que jai contenus du mieux que je pouvais.
Didier me faisait essayer les paires de chaussures les unes après les autres. Je transpirais de toutes parts. Il proposa une paire de chaussures qui nétait pas en rayon dans ma pointure.
Le vendeur partit derrière pour aller chercher la bonne taille
Didier vint sassoir à cote de moi pour me demander « elles te plaisent »
Moi « oui, mais arrête avec les accessoires, je nen peux plus »
Didier « tu veux prendre lesquelles » comme si de rien était.
Moi « elles me plaisent, surtout celle la, celle la et celle la » et de rajouter « arrête avec luf sinon je vais exploser »
Didier « tu te régales ma chérie »
Nous avons interrompu notre conversation car le vendeur est revenu.
Didier actionna luf qui vibrait en moi plus fortement, je sentais lorgasme monter en moi, surtout que le vendeur me caressait les mollets, ce qui narrangeait rien. Il me soulevait ma jambe pour me passer les chaussures. Jessayais desquiver tout en serrant les jambes pour éviter quil voit mes jarretelles.
Les vibrations saccentuaient, je ne pouvais contenir lorgasme qui montait en moi. Jexplosais tout en contenant, je transpirais. Javais chaud. Je regardais Didier qui riait.
Le vendeur me voyant transpirer, me dit « vous ne vous sentez pas bien, vous voulez un verre deau »
Moi avec une petite voix et le regard vitreux« vous êtes gentil, sil vous plait »
Il se leva pour aller me chercher un verre
Je regardais Didier avec un regard qui lui demandait darrêter.
Pendant ce temps les autres vendeurs me regardaient. Je me faisais mater.
Lorsquil revint avec son verre deau « tenez, vous vous sentez mieux »
Moi « oui merci »
Didier est revenu avec cette fois une paires de bottes jusquaux genoux.
Didier « tient regarde ces belles bottes, je suis sur, quelles vont aller à merveille »
Moi « non, je nai pas besoin de bottes »
Didier sadressant au vendeur « vous pourriez faire essayer à Madame, cette paires, sil vous plait »
Moi « non je nai pas besoin de bottes » je me voyais en position délicates pour les essayer
Didier « je suis certain quelle vont très bien taller »
Le vendeur « elles vont être magnifiques sur vous »
Il se leva et il y avait ma pointure dans le rayon.
Les choses scabreuses commençaient avec ma tenue
Le vendeur commença à sapprocher de moi, je serrais les jambes et les mettaient sur le coté. Didier actionnait de nouveau luf vibrant tout en accentuant la fréquence, lorgasme remontait dangereusement.
Il arrêta les vibrations, lorsque jeue quelques difficultés pour enfiler les bottes.
Le salaud les réenclencha au moment où je my attendais le moins.
Lorgasme monta en moi sans que je puisse le contrôler, jétais au bord de la rupture ;
Je croyais que les vibrations étaient à leur maximum, mais elles saccentuèrent. Jéclatais en essayant de le contenir et de me tenir le plus correctement possible. Jai poussé quelques soupirs un peu marqué accompagnés par des cris étouffés.
Je dégoulinais, il maurait fallu le sexe de Didier pour éteindre lincendie.
Mes mouvements de jambes pour essayer les bottes étaient lents, je tirais sur mon imperméable pour le faire descendre au maximum. Le vendeur me fixait, il avait les yeux qui lui sortaient de la tête.
De plus il me caressait les mollets, ce qui mexcitait encore plus, je navais quune envie cétait décarter les cuisses pour que Didier me prenne.
Une fois debout, je me regardais dans la glace, je faisais salope BCBG. Imperméable court, limite des bas, des bottes en cuir retournées à talons hauts jusquaux genoux, en guêpière, javais les yeux qui brillaient, je faisais femme facile.
Les hommes présents me regardaient.
Je dis pour éviter encore de la gymnastique « je vais les garder aux pieds »
Le vendeur « elle vous vont à ravir »
Didier « tu es très belle »
Moi « oui, merci »
Je demandais au vendeur « vous pourriez mindiquer où se trouvent les toilettes »
Didier « on se retrouve ici, je vais à la caisse » et en sapprochant de moi, doucement « tu gardes tes accessoires en toi »
Moi « oui à tout de suite »
Lorsque je suis arrivée dans les toilettes, le constat était sans appel, jétais plus que trempée, javais le haut des bas mouillé, la doublure de mon imperméable humide, il y avait un auréole.
Je me suis donnée du plaisir, pour me soulager.
Lorsque je suis revenue dans le magasin, jai vu Didier qui mattendait avec les paquets des chaussures achetés, en grande discussion avec le vendeur.
Il mavait achetée, 5 paires de chaussures et la paire de bottes que javais aux pieds. Il mavait gâtée.
Le vendeur nous salua et nous sommes sortis.
Didier « nous allons déjeuner »
Moi « je voulais te remercier » en lembrassant.
Didier « tu as gardé tes accessoires en toi »
Moi « oui, oui »
Didier « tu as intérêt, sinon je te punis »
Moi « non je nai pas besoin dêtre punie »
Il réenclencha les vibrations
Je me suis accroché à son bras « arrête, je nen peux plus »
Didier « tu jouis, cest bon »
Moi « oui arrête, sinon je vais éclater »
Je lui ai planté les ongles dons son bras, car jai joui en marchant
Moi « viens on rentre, jai envie de toi »
Didier « nous allons déjeuner »
Nous sommes entrés dans une brasserie et Didier a choisi une place à coté de la vitre.
Moi « tu aurais pu choisir un autre endroit »
En sasseyant Didier « tu vas être en exposition, tu vas te faire mater »
Moi « écoute, tu exagères »
Didier « tu veux faire la salope, il faut assumer »
Moi « je veux faire la salope avec toi quavec toi, pas avec les autres »
Didier « je vais te punir de suite. Premièrement : interdit de mettre ta serviette sur les genoux, deuxièmement, je vais remettre en route luf vibrant à fond »
Et de rajouter « tu veux faire la salope avec moi, tu es ma petite salope »
Moi sous leffet des vibrations « ouuuiiii, arrête, je vais jouuiiiir encore » lorgasme arriva rapidement, je jouissais en me dandinant sur ma chaise. Didier me regardait en souriant.
Moi une fois lorgasme passé « arrête, je vais finir par ne plus pouvoir me retenir et je vais exploser devant tout le monde »
Didier « ma chérie, il faut assumer le fait dêtre une salope »
Moi « je voulais te faire une surprise hier soir »
Didier « et bien je te fais une surprise aujourdhui »
Au moment où je prenais ma serviette pour la mettre sur mes genoux, Didier « quest ce je tai dit, pas de serviette sur les genoux »
Moi « je pourrais avoir une dérogation »
Didier « aucune dérogation, ni passe droit, donc la serviette sur la table »
Nous avons déjeuné, tranquillement, si je peux dire, car jai encore eu trois orgasmes dont un au cours duquel jai failli m.
Nous étions en train de manger le dessert avec le café, lorsque Didier leva la main en faisait un signe à quelquun. Intriguée, je me retournais et je vis le vendeur de chaussure, venir dans notre direction.
Moi « oh non, il ne va pas venir à table avec nous »
Didier « il est sympathique, je vais linviter à boire un café »
Moi « non, je voulais que nous soyons tous les deux »
Didier « il est sympa et nous a bien conseillé »
Didier en sadressant au vendeur « vous avez déjeuné »
Le vendeur « oui, vite fait, je venais prendre un café »
Didier « asseyez vous, vous allez le prendre avec nous »
Le vendeur « je ne veux pas vous déranger »
Didier « vous ne nous dérangez pas »
Le vendeur arriva en me déshabillant du regard.
Ils échangèrent quelques banalités en buvant leur café
Je ne disais rien.
Didier « quel est votre prénom »
Le vendeur « Thierry »
Didier « Madame, cest Helen et moi Didier, enchantés Thierry »
Je ne voyais pas pourquoi cet échange de prénoms.
La discussion se poursuivait, je les écoutais.
Jusquau moment où Didier demanda au vendeur qui était assis à coté de lui « comment trouvez vous Helen »
Thierry « ravissante »
Didier « oui elle est ravissante, cest vrai et terriblement désirable »
En entendant cela jétais surprise, je le regardais avec des gros yeux
Thierry « si toutes les clientes étaient comme vous, ce serait un véritable bonheur »
Didier « oui cest vrai, quelle est jolie, désirable, sexy, et si vous saviez la suite, elle a des talents cachés »
Je nen revenais pas
Didier en sadressant au vendeur « vous ne voulez pas les connaitre »
Thierry « Madame risque dêtre génée »
Didier « non ne vous inquiétez pas, elle nest pas farouche, elle est BCBG comme ça, mais elle est très très chaude »
Jen avais les yeux qui me sortaient de la tête
Le vendeur me déshabillait du regard.
Thierry « oui elle est plus que désirable »
Didier « si vous saviez elle est nue en guêpière sous son imperméable »
Je le regardais, je nen croyais pas mes oreilles
Et de rajouter « en plus elle est open, si vous voulez passer un moment avec elle, elle ne dira pas non »
Thierry « oui cest très agréable et plus que tentant »
Didier « vous avez un peu de temps »
Thierry « oui ça peut se faire »
Didier « dans les grands magasins, il y a des endroits réservés au personnel, plus tranquilles style escaliers de secours»
Il me vendait comme de la marchandise, je nen revenais pas.
Thierry « oui, il y en a »
Didier « on y va, tu vas pouvoir te faire une belle salope »
Jen étais estomaquée.
Il paya et nous nous sommes levés
Didier « nous te suivons discrètement »
Nous étions derrière lui à 2, 3 mètres
Moi « vraiment tu exagères, je ne veux pas »
Didier me tenant fermement par le bras « tais toi, tu es ma salope et je fais de toi ce que je veux »
Moi « non, non »
Didier il va te baiser et tu vas lui montrer létendu de tes talents »
Moi « non, je ne veux pas »
Didier « tu préfères te faire baiser à la chaine dans une cité »
Moi « non »
Nous sommes entrés par une entrée de service, nous le suivions, nous avons monté des escaliers pour finir sur le palier dune issue de secours.
Thierry « la on va être tranquille »
Didier « elle va te sucer et ensuite tu vas mettre une capote et tu vas la baiser comme une chienne »
Il se débraguetta, il bandait à moitié
Didier « allez suce le salope »
Moi « non je ne veux pas »
Il sapprocha de moi et me gifla « tu le suces sinon » en me passant la main derrière le cou pour mamener la tête sur la bite du vendeur
Didier « allez suce »
Je lengloutis et commença à le pomper
Didier « elle suce bien »
Thierry « oui super bien »
Didier me releva mon imperméable en disant « touche lui le cul, elle aime ça »
Le vendeur commença à me caresser le cul et ma main simmobilisa sur le plug
Didier « je tavais dit que cétais une salope, elle a un plug dans le cul et un uf vibrant dans le vagin »
Le vendeur « hum cest bon elle suce vraiment bien »
Didier « je la faisais jouir pendant que tu lui faisais essayer les chaussures »
Thierry « cest pour ça quelle transpirait et quelle se sentait pas bien en poussant des petits cris.
Didier en me retirant le plug « met lui tes doigts dans le cul, tu vas voir comment il est ouvert »
Le vendeur me mit ses doigts dans le cul « oui elle est bien ouverte »
Didier « mets lui deux ou trois, ça rentre tout seul »
Thierry « oui quest quelle est bonne »
Didier met une capote et tu va lenculer »
Thierry « dans le cul »
Didier « oui dans le cul directement, ne tinquiète pas elle aime ça »
Il mit un préservatif et passa derrière moi, je sentis son sexe à lentrée de mon cul
Didier « vas y met lui »
Il entra en moi « putain quest ce que cest bon et chaud »
Didier « elle est bonne, nhésite pas défonce, la elle nattend que ça, tu vas voir elle va jouir »
Thierry « elle jouit par le cul »
Didier « oui cest une salope, du moment quelle se fait baiser, elle ne veut rien dautre que de la bite » et de rajouter « vas pilonne la, sans ménagement »
Il sagrippa à mes hanches et commença à me besogner.
Didier « plus fort défonce la »
Thierry « oui ça rentre tout seul »
Je commençais à haleter
Didier « tu vois elle aime, elle va jouir » il déclencha luf vibrant.
Thierry « je sens que ça vibre de lautre coté »
Didier « oui elle a un uf vibrant dans la chatte »
Je me suis mise à jouir fortement
Didier « tu vois elle aime ça se la prendre dans le cul »
Thierry « oui cest bon, cest une bonne salope »
Didier « insulte la cette catin, ça va la faire jouir encore mieux »
Et de rajouter « attends je vais minstaller dans sa bouche sinon elle va ameuter le quartier »
Il se débraguetta, il bandait comme un ane et me la présenta pour que je lengloutisse.
Didier « allez suce moi salope, petite pute »
Didier en sadressant au vendeur « vas y défonce la de toutes tes forces »
Thierry « oui je vais léclater »
Didier « oui éclate lui le cul à cette trainée et insulte la »
Thierry « tes une pute, je vais téclater le cul, ce cul de chienne »
Je commençais à jouir
Didier « vas plus fort elle va prendre son pied »
Thierry « oui je la défonce déjà bien »
Didier « oui mais plus fort »
Jai eu un orgasme puissant
Didier « cest bon quest ce quelle suce mieux quand elle jouit »
Thierry « tu téclates salope »
Didier « vas y cest une pute, éclate la et insulte la, elle ne mérite que ça »
Thierry » ten veut de la bite, tes une trainée, une catin, hein »
Je me suis remise à jouir
Didier « tu vois elle prend encore son pied, continue »
Thierry « oui espèce de putain, tu allumes les mecs et ensuite tu te fais enculer dans un escalier de service »
Didier « tu métonnes, avec les km de queue quelle se prend »
Thierry « oui de km de bites, taime ça »
Javais orgasme sur orgasme.
Thierry « mais elle narrête pas »
Didier « cest une salope, une fois quelle est partie il faut lui en donner »
Thierry « oui quelle pute, elle aime ça »
Didier « bien sur quelle aime ça, cest un trou à pattes »
Thierry « je sens que je vais jouir »
Didier « vas ne te retient pas »
Et en sadressant à moi « aspire moi salope que je te gicle dans la bouche »
Je sentais que les palpitations arrivaient sur le sexe de Thierry.
Thierry « oui , ça vient cest bon, ouuuuiiii »
Didier « aspire salope » « oui » « avale »
Ils se vidèrent en moi, Didier dans ma bouche et Thierry dans mon cul dans la capote.
Ils restèrent plantés en moi quelques minutes.
Didier « elle est bonne »
Thierry « oui super, je ne regrette pas dêtre venu ce matin »
Ils me dégagèrent.
Didier « tu vas nous indiquer une sortie discrète »
Thierry qui sétait réhabillé « oui par la suivez moi »
Nous sommes descendus par un petit escalier donnant dans une impasse.
Didier « bonne fin de journée »
Thierry « au revoir, et revenez vite » « au revoir Helen et merci »
Jai haussé les épaules.
Didier en sortant « tu aurais pu lui dire au revoir correctement »
Moi « tu exagères, je me fais forcer à être sodomiser par un inconnu et tu veux que je lui dise au revoir »
Didier « tu as joui, non »
Moi « oui, cest vrai »
Je lui en voulais mais javais eu du plaisir.
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